J'avais tant espéré...
... Que mon entrer au secondaire soit plus rose que l'ensemble de mon primaire. J'ai réussis à me faire quelques amies dans la même situation que moi. Peu populaire, peu d'amis. Nous nous somme alliés. J'aurais tant voulu que nous prennions le même autobus pour le chemin de l'école. Je détestais prendre l'autobus scolaire. J'étais la dernière à entré dans l'autobus le matin. Il restait tout juste une place sur un banc double, à moins d'une absence. Dans 80 % des cas, la personne assise sur le bac où il restait un place ne voulait pas que je m'assoie là. Combiens de fois j'ai du m'assoir par terre, jusqu'à temps que le chauffeur se lève et nous engueule, m'obligeant à m'assoir, et forçant l'autre personne à se pousser. Tout le loin du trajet, je fesait face à des regards accusateurs, à des coup de coude, à des coups de pieds dans le banc derrière moi. On me bousculais à la sortie. Sur mon Sac à dos, j'avais un genre de fils élastique quasi imutile. Parfois, quelqu'un le prennait s'était longuement sans que je m'en rendre compte, puis le relachais. Mon sac a dos était tout amoché avec ce cordon élastique tout étiré, qui pendouillait à la longue.
Ma principale façon était de les ignorer. Et croyez moi, ça me marchait pas. Sauf une fois. En secondaire 2, j'étais devenu bonne amie avec E. Nous étions tout le temps ensemble. Nous nous avions batie un monde machaviélique, nous écoutions Korn et nous volions le pot de nos parents. J'ai fumer mes premiers joints avec elle. des joints mal roulé, sans filtre de carton. Avec Dead bobys everywhere de Korn, à fond la planche, son père étant absent sur l'heure du midi et au retours de l'école en après midi. Bref, un gars avec sa bande s'est mit à nous appeler les gouines. Le mot s'était répandu. Il arrivait toujours de nul part avec sa bande et me disait <<Heille la gouine, est où ton blonde?>> Je les es ignoré un bon bout de temps. Mais un beau jours j'en pouvais plus. Dans une classe, avant un début de cours, je suis aller a son bureau, face à lui, et à deux pouce de sa face je lui est dit << Si tu continue à nous traiter de gouines, je vais me faire un plaisir de te casser les dents.>>. Contre toute attentes, ils a eu peur, il m'a répondu que cétais juste des blagues, il a paniqué. Moi et E n'avont plus jamais entendu cette insulte.Aujourd'hui, j'ai su que ce garçon était gai. j'ai trouvé ça ironique.
Finalement, intimidé les intimidateur était plus efficace que de se jouer la carte low profil. J'ai gardé ça en tête à mon entré en secondaire 3.